https://www.youtube.com/watch?v=P19vdrhpAEQ
Denis Abrahams: “Bei Houellebecq habe ich die Isolation und den Kontrollverlust des Ich-Erzählers von Vincent Message wiedergefunden.”
Tag : message
https://www.youtube.com/watch?v=P19vdrhpAEQ
Denis Abrahams: “Bei Houellebecq habe ich die Isolation und den Kontrollverlust des Ich-Erzählers von Vincent Message wiedergefunden.”
p. 3, l. 5-7 Je comprends pourquoi Nexus a voulu attention, il a été ignoré de tout le monde. Si le monde fait ça avec quelqu’un, c’est évident que quelque chose comme l’assassiner se produit. Nexus a pensé à la ligne 7 que « Je me suis rendu compte un peu tard que je n’en demandais pas tant. » Avec cette phrase, c’est évident qu’il n’a pas voulu mordre ces personnes après il l’a fait ! Au contraire, j’absolument comprends que ce n’est pas la manière correcte pour gagner attention, c’est illégal de tuer des humains dans la société d’aujourd’hui. Nexus était désespéré et n’a pas su qu’est-ce qu’il peut faire pour recevoir attention.
von Sam
Lumières bleues partout où j’attire les regards,
Je suis intelligent comme un renard,
Le son dans mes oreilles,
Comme des enfants qui crient.
J’ai voulu seulement un peu attention,
Et pas voulu tuer des humains.
Ce n’est pas faire,
C’était un accident.
Qu’est-ce que j’ai fait ?!
von Sam
Le premier passage me souvient beaucoup de la deuxième partie du livre l’étranger, par Albert Camus. C’est à cause de la phrase «longtemps le monde n’a eu qu’indifférence pour moi» – elle ressemble fortement l’anomie qui était très fort dans la société pendant les années 1950.
En plus, l’image d’être regardé par les murs est un cliché. Essayez d’employer des mots qui ne sont pas tellement utilisé.
En tout, l’atmosphère est très bien établit car elle montre un image de l’anonymite qui nexus experience; il parle des autres comme une unité, parce qu’il compare toujours soi-même avec « ils» et «le monde».
Très bon fait!
von freddyleo
Je trouve le début très intéressant. Après le premier paragraphe nous nous sommes demandée qui est Nexus. Il est en prison, il a tué trois personnes et ce sont des raisons pour considérer quelqu’un comme un fou. Mais ce n’est pas tout ce qu’on doit savoir de Nexus. Parce que Nexus a un autre côté. Un côté où il a des sentiments, des peurs et des motifs pour son comportement. Ça fait, qu’un meurtrier a l’air identifiable. Comment est-ce que c’est possible que le lecteur veut l’aider, veut le comprendre et veut le protéger ? Pourquoi l’auteur le fait? Est-ce qu’il veut nous montrer qu’il y a un peu d’un meurtrier dans chacun de nous ? Ou est-ce qu’il veut nous montrer qu’il y a un peu d’un bon homme dans chacun n’importe quelles mauvaises choses il a fait ? (p. 3, l. 1-7)
von Sourie_en_personne
Quand j’ai lu l’histoire la première fois j’ai pensé que le narrateur, Nexus, était un psychopathe. Mais pendant cette partie du texte j’ai commencé de comprendre qu’il est malade dans sa tête et fou. Seulement pour gagner attention, Nexus a tiré et tué huit personnes, mais après, il n’a pas eu des regrets… Il a commencé d’avoir des regrets, et de temps à temps il a des flashbacks, comment il tue beaucoup des personnes.
Vincent Message: Fragen über Fragen und am Ende doch ein paar Antworten
Messages Protagonist Nexus tötet drei Menschen, um sich dann auf den Leichen schlafen zu legen. Warum sollte jemand so etwas tun? Die Kommentare der Schüler kreisten um diese Frage. Wer ist Nexus? Warum tut er, was er tut? Und warum hat er so einen seltsamen Namen?
Die Schüler versuchten, Antworten zu finden. Sie überlegten sich Biografien und Portraits des Protagonisten. Malten seine Lage. Dachten an Odysseus und seine Irrfahrt, an Edvard Munchs „Schrei“. Und überlegten, was sie an Nexus Stelle täten.
Wieso kämpft Nexus ganz allein gegen alle anderen? Die Welt, in der er lebt wurde untersucht. Einen Schüler erinnerten die Wächter um Nexus an die NSA-Affäre. Eine Schülerin verglich Nexus Gefängnis mit Ai WeiWeis Nachstellung seiner Gefangenzelle. Ein anderer fragte sich: Handelt es bei Nexus‘ Gefangennahme um Folter?
Denis Abrahams suchte nach Nexus‘ Verwandten im Geiste in der Literatur und stieß auf Elementarteilchen, Herrndorf, Gottfried Benn und Bladerunner. Karen Suender fragte nach dem Bösen im Menschen. Und wendet sich im Anschluss im Namen Nexus‘ an ein Esotherik-Forum.
Carolin Beutel findet Ähnlichkeit zu Seinfelds Bubbleboy, denkt nach über das Rechtssystem, in dem Nexus festhängt und seine Sprachlosigkeit – die wiederrum mit der Sesamstraße zusammenhängt. Wie steht es um Nexus Urteil, Psychiater Traumfreunds Hoffnung in eine Therapie und den Zusammenhang zwischen Kriminalität, Verrücktheit und Strafe?
Es sieht recht düster aus für Nexus, doch es gibt Hoffnung: Der 6 jährige Jakob überlegt sich, wie „Die Wächter“ doch noch zu einem Happy End kommen kann.
von Martina Koesling
“Wir erfanden den Raum, um die Zeit totzuschlagen” – Denis Abrahams liest
https://www.youtube.com/watch?v=wLFIgIYWezk
Denis Abrahams: “In dem Auszug aus “Epilog und lyrisches Ich” von Gottfried Benn fand ich in Anlehnung an Messages Hauptfigur interessant, wie abstrakt Benn hier mit seinen Gefühlen umgeht. Zudem fand ich den pathologischen Aspekt interessant, der sich bei Benns “lyrischem Ich” offenbart, wenn er beschreibt, wie er irgendwann nicht mehr dazu in der Lage war, Interesse oder Fürsorge für einen einzelnen Patienten aufzubringen.”
Informationen zu Gottfired Benn