Le premier passage me souvient beaucoup de la deuxième partie du livre l’étranger, par Albert Camus. C’est à cause de la phrase «longtemps le monde n’a eu qu’indifférence pour moi» – elle ressemble fortement l’anomie qui était très fort dans la société pendant les années 1950.
En plus, l’image d’être regardé par les murs est un cliché. Essayez d’employer des mots qui ne sont pas tellement utilisé.
En tout, l’atmosphère est très bien établit car elle montre un image de l’anonymite qui nexus experience; il parle des autres comme une unité, parce qu’il compare toujours soi-même avec « ils» et «le monde».
Très bon fait!
von freddyleo
bezieht sich auf: http://comment.lettretage.de/vincent-message-die-waechter-1/
L’association avec L’étranger de Camus me parait très fécond. A la fin du roman, Meursault évoque la douce indifférence du monde, et il assume tout ce qui a fait sa vie. Peut-être que Nexus va finir par comprendre cela aussi.