Zu Fiston Mwanza Mujilas Gedicht Monologue d’un damné


de Victoria Kämmer
Alors, c’est très difficile d’être inclus dans la société,
particulièrement si tu te vois different
mais dans ton poéme il ne se paraît pasque tu fais un effort de n’être plus exclu de la société.
Il se paraît que tu es convaincu que personne te vais aimer.
Pour être accepté on parfois dois changer un peu mais on ne dois pas
oublier son origin ou se honte pour son corps ou sa famille.
Je pense que c’est la chose plus mal qu’on peut faire.
Personnes que ne t’aime pas pour ton origin sont encore présent mais rarement. La société a changé.
Tu devrais essayer être inclus dans la société parce que je pense que tu as un mal opinion du personnes
et tu ne vas pas être damné si tu t’efforces.
von Kiara Jung
Kiara


Le’île repräsentiert l’exil.Le mort-vivant symbolisiert Vetter triste Emotion.Le bateau dann l’image reparieren la distanc à la civilastion.Le damnè vormittag parke qu’il ne resistent pas le flottement de bateau. Le bateau à preis le clamne a Vetter île.
von Geunpool


von Katharina
Je ne comprends toujours pas. C’est une texte ou un Poeme? Qu’est-ce que la sense de la texte? Pourqoui il est triste? Est-ce qu’il est malade?
Je pense que il est un immigré qui déménage en France.
von Katharina
Le damné a un nom africain est il est âgé de 25 – 30 ans. Il viens d’Afrique mais maintenant il Habite en France. Le damné n’a pas terminé l’école et il est au chômage. Sa famille n’est pas fier de lui mais ils l’aiment quand même. Il a 5 frères et sœurs. Il n’a pas une femme et il n’a pas des enfants qu’il sait. Il a vécu des choses que tout le monde ne peut pas imaginer. Maintenant il vit dans un Petit Appartement Avec trois autres étrangers. Mais sa Situation actuelle est très compliqué. Il se sent exclu du monde. Il souffre de la société. il n’aime pas la facon dont il est traité par l’humanité.
von Katharina
À mon avis le damné peut avoir 20 ans ou 80.Ce n´est pas importante.Le damné peut habiter à Afrique ou Europe,ce n’est pas importante aussi.Mais le damné est un homme ou peut-être une femme.Je ne sais pas.Le damné peut être chaque personne!Je pense que pour l´écrivain,monsieur mutila,le damné est quelequ´un de la vivre normalement.Avec des problèmes et le ne peut pas résoudre les. Il ne sait pas un sortie et maintenant il est fou.
Geschrieben von David
Salut Monsieur damné,
J’ai lit ton monologue d’un damné et je pense que tu as une mauvais mentalitée. D’abord je ne crois pas que tu as fait quelque chose très grave ce que les gens pensent que tu es l’idiot de la République. Ce n’est pas ta faute que tu es un homme de couleur, c’est une faute de la société de insulter quelqu’un un nègre. J’approuve toi avec changer ta vie parce que maintenant c’est une vie de chien, mais tu as choisi und faux chemin. Vomir n’est pas une façon avantageuse, tu te débrasses de ta désespérances autrement, par exemple faire de la boxe et assimile ta rage comme ça. Peut-être tu veux vomir ton coeur parce que quelqu’un a le craqué. Si il y a comme ça, je veux conseiller toi, soit cette personne n’est pas precieuse et tu doit peindre cette personne de ta vie. Tu veux aussi vomir ton sexe, pourquoi? Tu es homosexuel ou bisexuel et à cause de ça, les gens ne t’acceptent pas? Ce n’est pas à toi de voir, c’est la bêtise de la société et aussi l’intolérance. Tu as dit <<Amen>>, alors je pense que tu es religieux. Tu crois au Bon Dieu? Si je suis correcte, tu dis des prières? Parce que c’est une meilleuse façon de changer ta vie. Tu as honte de être un homme de couleur ou de ta origine ou pourqoi tu veux vomir ta origine et ta rasse? De plus tu penses que je n’ai pas une résponse. Vois le monde avec autres yeux. N’est pas pessimiste mais positive et prometteur parce que seulement comme ça tu peux changer ta vie et la société a une meilleuse image de toi, alors tu as bienvenu. Ça ne fait pas une différence si tu vomis ou si tu fais rien pour annuler tes problèmes. Mais si tu changerais ta mentalitée, ça serais un début d’une belle vie.
Emily Lebenié
Pourquoi tu vort tout le temps? Ta vie est triste, parce que tu es très negative, mais la vie est joli et tu doit voir la vie.
Quand tu cheches un chose,que tu fais heureux. Peut-être tu vas plus heureux. Ton poème fait les personnes, qui lissez
le poème aussi triste et le monde est un plus triste. Ton crreativitépeut aider pour faire un monde plus intéressant. Tu n’est
pas l’idiot République, parce que tu pense sur la societé et tu veux faire la République meilleure.
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von superman
Le damné est une personne qui habite en France. Il a 28 ans et il s’appelle Rachid.
A l’âge de 20 il est sorti de l’Afrique, alors il ne sais plus qu’est-ce que sa famille faire.
Rachid travaille dans une entreprise de voiture. Dans cette entreprise il y a une femme qui Rachid aime beaucoup. Mais il ne parle jamais avec elle.
Les autres personnes sont jaloux de Rachid parce qu’il a beaucoup d’argent. Rachid a de pression parce que les autres se moquent et insulter lui. Alors il se sent mal et il a de précarité. Il essaie ignorer les autres,mais c’est n’est pas simple.
Il souffre de vomir et de son corps.
Rachid travaille beaucoup, alors il n’a pas des temps.
Sa situation actuelle est difficile, mais il veut la changer.
Pour résumer, ce personnage a une vie très difficile, mais il fait le meilleur pour être accepter de la civilisation.
von Mikasa
Cet homme est un homme de coleur de l’Afrique et il a 18 ans.
Il a une famille, mais il doit travailler après l’école pour nourrir sa famille et à cause de ça, il n’a pas fini l’école parce qu’il n’a pas de temps pour les deux ensembles.
Il est aussi très pessimiste et énervé de tout le monde.
Il n’a pas de temps pour des hobbies parce qu’il doit travailler, mais il aime bien jouer du foot.
Sa situation acutelle est qu’il n’accepte pas soi-même donc il veux changer sa vie et vomir à sa vie passé.
von emilylebenin
Le damné est un person masculin et il a vingt ans. Il s’appelle Max. Son école est été en France à Paris.
Aussi il a deux frères et un souer. Autrefois ils ont habités à Paris, mais maintenant Max habite au Bordeaux aves ses enfants.
Il travail sur un bateau et aimer son travail, ses expériences à l’Afrique aide lui pour travailer et aider les personnes pouvre.
Ses amis aiment son caractéristiques et ses émotions, parce qu’il dit, qu’il pense. Son hobby est tennis est la danse et à
vendredi il va à l’hôpital, parce qu’ il vomir beaucoup. Sa vie est joli et il aime sa famille et ses amis. Il est heureux. 🙂
von superman
Performances
Ross Sutherland & Simone Kornappel
DO, 20.11. | Lettrétage
Vincent Message & Gerhild Steinbuch
DI, 25.11. | Lettrétage
Fiston Mwanza Mujila & Jörg Albrecht
DO, 27.11. | Lettrétage
Christian Prigent & Christian Filips & Aurélie Maurin
COMMENTS
- Moritz bei Live-Blog zu Christian Prigent / lamentationen in lametta [zwei rd]
- Stefan Mesch bei Live-Blog I (cvb) / Performance Fiston Mwanza Mujila
- Konstantin Ames bei 18.11. Performance Ross Sutherland – Auftakt
- stonch bei Fiston Mwanza: Be-pop dans une nuit de beuverie
- Christian bei Christian Prigent: l’âme – tomber du jour #1
25.11. Performance mit Fiston Mwanza Mujila, kuratiert von Jörg Albrecht
Dienstag, 25. November 2014, 19:00 Uhr, Eintritt frei
¿Comment! – Performance mit Fiston Mwanza Mujila,
kuratiert von Jörg Albrecht
Prosa und Lyrik des kongolesischen Autors und Kommentare seiner Leser, darunter Gernot Krämer und Schüler des Friedrich-Engels Gymnasiums, des Hildegard-Wegschneider Gymnasiums und des Eckener Gymnasiums
Zweisprachige Lesung (deutsch/französisch)
Die Lettrétage dankt den Förderern und Partnern!
Lettrétage, Mehringdamm 61, Nähe U7/U6 Mehringdamm
fiston mwanza_(c) Gäel Turine4
Fiston Mwanza Mujila, 1981 in Lubumbashi (Demokratische Republik Kongo) geboren, studierte Literatur und Humanwissenschaften. Derzeit promoviert er über afrikanische Literatur an der Grazer Romanistik. Fiston Mwanza Mujila schreibt Gedichte und Kurzgeschichten, seit kurzem auch für das Theater; seit einigen Jahren nimmt er an vielen literarischen Veranstaltungen im Kongo und im (europäischen) Ausland teil.
Veröffentlicht wurden seine Gedichte und Texte in Frankreich, Belgien, Deutschland, Österreich, Rumänien, und der Ukraine.
Jörg Albrecht wurde 1981 in Bonn geboren und wuchs in Dortmund auf, heute lebt er in Berlin. Er studierte von 2001 bis 2006 Komparatistik, Germanistik und Geschichte in Bochum und Wien. Albrecht schreibt Prosa/Romane, Theatertexte, Hörspiele und Essays; seine Foto- und Videoarbeiten und Performances beschäftigen sich als intermediale Serien mit Machtkonstellationen.
Seine literarischen Arbeiten zu Themen wie Überwachung, Prekarisierung und Queerness wurden als Rückkehr des Diskursiven und Politischen in die Literatur der jüngeren deutschen Generation gewertet.
Website von Jörg Albrecht
Kuratorisches Statement:
Ich lernte Fiston Mwanza Mujila an einem Septemberabend des Jahres 2010 in Graz kennen, als er mir, wie es Brauch ist, das Zepter des Grazer Stadtschreibers übergab, dessen Amt er in den zuvorliegenden zwölf Monaten innegehabt hatte, und das er mir nun weiterreichte, und zwar mit der Bemerkung, seine Großmutter daheim, in der Demokratischen Republik Kongo, hätte ihm am Telefon gesagt, daß es sich für so ein Ereignis gehöre, ein großes Geschenk zu machen, sogar ein bestimmtes, ja, es könne bei diesem Anlaß eigentlich nur eines sein: eine Ziege. Obwohl die in den Rosengarten oben auf dem Grazer Schloßberg, wo der Stadtschreiber seine Wohnung hat, perfekt gepaßt hätte, schenkte Fiston mir lieber eine kleine, aus Holz geschnitzte Ziege, die oben auf dem Berg ins Regal paßte, neben die paar Bücher, die ich für das Jahr mitgebracht hatte, das ich nun dort verbringen würde.
Und dann, an ebenjenem Abend, hörte ich Fiston zum ersten Mal singen. Ja. Denn er liest nicht einfach. Er singt und schreit, rappt und wütet, er spielt seine Texte, als wären sie eine Partitur, oder vielleicht stimmt das nicht, vielmehr stellt er sich hin und läßt sich spielen, als wäre er selbst diese groß angelegte Symphonie, in der die Instrumente die Steine auf der Straße sind, der Staub, das Wellblech, die weggeschnippte Kippe, der Speichel, das Klatschen einer Ohrfeige, das Knistern der Haare eines Schnurrbarts, drei Jeeps, die durch Schlaglöcher fahren, drei Kinderstimmen, die sich streiten, drei Kofferradios, aus denen ein Jazz-Stück dringt, aber nicht ganz durchdringt – eine Symphonie, die immer wieder anders gespielt werden muß, bis sie am Ende ist, und das Ende ist der Anfang, und „au commencement était la pierre et la pierre provoqua la possession et la possession la ruée“.
Fiston Mwanza Mujila schreibt über das Ohr, für das Ohr. Er wollte Saxophonist werden, doch nirgendwo in seiner Heimat hätte er das lernen können, also blieben ihm die Worte. Er schreibt Gedichte. Er schreibt Prosatexte, unter anderem den Roman Tram 83. Und er schreibt auch Texte für die Bühne, in denen zum Beispiel Marxismus und Religion aufeinanderclashen und auf die treffen, die ihnen zum Opfer fielen, und die aus dem Jenseits ihre Kämpfe weiterkämpfen.
Überhaupt ist die Welt, die Fiston beschreibt, eine gewaltvolle. Die Gewalt steckt dabei in der Sprache, mit der die Dinge beschrieben werden, in der Brutalität verschiedener Stimmen, die drohen und fluchen und wüten und einander durchkreuzen und anheizen. Es ist immer auch eine kolonialisierte Welt, die sich nicht ändern wird, allein, weil es die Körper sind, die versklavt wurden und werden, und weil am Anfang von allem immer die Verteilung von Besitz steht, und der Besitz löst einen Ansturm aus auf die Teile der Welt, die besitzen.
Was hoffen läßt, ist der Moment, in dem der Ansturm am stärksten ist, und in dem Fistons Sprache in etwas durchbricht, das jenseits dieser brutalen Einzelkämpfe liegt. Dann auf einmal ist da etwas jenseits der Tragödie, die uns teilt. Eine Zärtlichkeit, die uns die Tragödie teilen läßt. Und das dort, wo Sprache und Körper auseinanderfallen und so endlich wieder miteinander sind.
Zur Performance
Sagen wir Au revoir zu den Räumen und den Zeiten, an denen wir hängen. Hier im Hinterhof eröffnen wir ein Hinterland, hin- und hergerissen, kreuz und quer veteilt, aber nicht mehr im Hintertreffen der globalen Kräfte. – Bouchez-vous les oreilles! – Macht ruhig. Wird euch nix nützen.
Texte (frz./dt.) von Fiston Mwanza Mujila
Kommentare zu den Texten Fiston Mwanza Mujilas
von Katharina Deloglu
Lesung Fiston Mwanza Mujila: Monologue d`un damnè