Performances
DI, 18.11. | Lettrétage
Ross Sutherland & Simone Kornappel
DO, 20.11. | Lettrétage
Vincent Message & Gerhild Steinbuch
DI, 25.11. | Lettrétage
Fiston Mwanza Mujila & Jörg Albrecht
DO, 27.11. | Lettrétage
Christian Prigent & Christian Filips & Aurélie Maurin
Ross Sutherland & Simone Kornappel
DO, 20.11. | Lettrétage
Vincent Message & Gerhild Steinbuch
DI, 25.11. | Lettrétage
Fiston Mwanza Mujila & Jörg Albrecht
DO, 27.11. | Lettrétage
Christian Prigent & Christian Filips & Aurélie Maurin
COMMENTS
- Moritz bei Live-Blog zu Christian Prigent / lamentationen in lametta [zwei rd]
- Stefan Mesch bei Live-Blog I (cvb) / Performance Fiston Mwanza Mujila
- Konstantin Ames bei 18.11. Performance Ross Sutherland – Auftakt
- stonch bei Fiston Mwanza: Be-pop dans une nuit de beuverie
- Christian bei Christian Prigent: l’âme – tomber du jour #1
Une autre fin des Veilleurs
Quand les sirènes a arrivées Nexus dormi sur ses victimes. Les force de l’ordre vont les quatre morts et sont très confus. Qui est le 4e victime? L’officer pense que le meurtrier est près. “Cherchent pour l’assassin” ils commande a les force. Quand toute le monde cherche le coupable, ne reste personne aux victimes. Nexus note que ne fait personne attention. Il peut quitter le lieu du crime. Après il est dans une place assurée il reflechit. Son ouvrage n’est pas fini, il y a un assassinat qu’il doit fait s’il peut montrer qu’il est meilleure en qualité de la sociète. Il retourne à la place du crime ou il veut assassiner l’officier. Il vat derrière les murs et dans les ombrages. Il prend son couteau de sa poche. Il peut voire l’officier qui ne sait pas qu’il vit juste un peu des secondes. Nexus prend la vie de l’officier sans des problèmes. Nexus peut sentir le sang chaude qui quitte le corpse de le dernier victime de Nexus. Tout à coup Nexus écoute un bruit. Il tourne sa tête et il voit un policier avec une pistole. Nexus sentis son ventre ou il trouve un grand trou. Nexus se dit “C’est la fin”. Et oui, c’est vrai. c’a été le fin d’un mauvaise massacreur.
von nick.larson