Le jeune homme va dans la rue. Il écoute de la musique mais son casque ne va pas. Donc la musique joue seulement à une côté de sa tête. Il passe la Gare du Nord. Quand il regarde la il voit tout d´un coup dans un sale coin un sale mec qui parle avec une femme surprenante propre pour ce milieu. Après quelques secondes il le reconnaît. Jadis c´était un ami de lui. Il s´appelle Réquiem et comme toujours il drague les prostitués. Il poursuit son chemin rapidement et espère qu´il ne l´a pas vu. Réquiem et il travaillions ensemble. A cette époque le jeune homme allait bien; il avait l´argent et sa grande amour, Madeleine elle s´appelait. Maintenant il n´a rien. Pour Madeleine il a renoncé le travail avec Réquiem, elle a dit que ce serait trop dangereux. Mais quand il lui voulait annoncer cela, c´était trop tard. Sa grande amour était déja perdu. Pour le désir de sa mère il a quand-même arrêter à trafiquer. Sans argent et sans la belle fille il n´a que des problèmes. Il se souhait à vomir ses problèmes, vomir son cœur, vomir sa faim et le plus urgent: vomir ses émotions. Et cettes émotions devenaient plus grave avec la musique qu´il écoutait. Le jazz, c´était l´amour-haine. Il le ne supporte pas, mais toutes les bonnes mémoires à son père et à son enfance sont rélié avec cette façon de la musique. Entre-temps il avait passé la gars. En pensant de la vie il chemine. Qu´est-ce que j´ai raté il se demande. Il n´y a pas une réponse, parce qu´il n´a rien raté. Sa famille avait seulement malchance. Après la mort du père ils n´avaient pas assez argent. Depuis sa vie a changé et est parti en succette, mais pour le vœu de sa mère il fait ses études et vit comme un ado normal. Et pour cela sa mère l´aime. Et avec l´amour de sa maman il poursuit son chemin. Son chemin pur et rangé…
von mecespagnol
Très bonne addition des toutes l’histoires de Fiston Mwanza.
Bien écrit. J’aime la imagination, que la musique est seulement à un côté de sa tête. Mais c’est très triste, que s’amour l’a quittée. Il est vraiment à plaindre.