Ça que j’aime bien dans votre quatrième et cinquième paragraphe, c’est la morbidité du passage. Nexus se cache entre les cadavres et il peut dormir même qu’il se trouve entre les corps humaines. Dans un certain sens, c’est réaliste; il y a beaucoup de romans ennuyants qui nous racontent des histoires de certaines personnes qui ont toujours horreur du mort et des morts; mais Vincent se sent calme. C’est pervers, mais au même temps, ça donne l’histoire une touche réaliste. On ne peut pas deviner qu’un vrai homme allait faire dans une situation extrême comme celle-ci. La réaction de Vincent est exotique mais aussi incalculable; je trouve que c’est approprié dans une histoire qui appelle soi-même “fiction réaliste”. Même si ce n’était pas du tout votre intention, vous avez au moins imitée les sentiments bizarres d’un psychopathe. Ca souvient un peu aux killers réels comme Ted Bundy, etc.

En plus, les images me font plaisir: vous avez parlé des sirènes, qui correspondent au mythe grec. C’est une image qui est accompagné (dans les deux cas) par la folie. Ça que j’admire avant tout, c’est comme vous avez créé une impression de la décomposition; les corps décomposent lentement et Nexus a sommeil et devient aussi flegmatique.

Bezieht sich auf diesen Text von Vincent Message.

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