Ce paragraphe est essentielle pour transmettre la gravité de l’anomie que Nexus expérience ; il ne perçoit ni les voitures, ni les flics, ni les personnes derrière les uniformes ; seulement les sirènes. Ils ont quelque chose étranger, quelque chose distant et spectral. Nexus comment son impuissance contre ces sirènes. Il raconte qu’ils ont traversé ses défenses et ont envahi ses oreilles et son cerveau, même qu’il voulait dormir. La fait qu’il est privé de son sommeil nous rappelle des méthodes de la torture dans plusieurs états totalitaires ; peut-être la société de Nexus appartient à un de ces états (c’est aussi supporté par les images d’observation et surveillance dans le premier paragraphe). Je trouve que la position de Nexus est très bien résumé par la dernière phrase : « Mais leur parler ne sert à rien : elles habitent dans leur univers, plus haut dans le spectre des fréquences, et à force de crier elles se sont rendues sourdes ».

 

Bezieht sich auf diesen Text von Vincent Message.

2 Kommentare

  • Vincent Message

    L’omniprésence des caméras, dans les rues de la ville, joue un grand rôle dans le roman. Il y a une scène où les deux enquêteurs, Rilviero et Traumfreund, veulent reconstituer le crime, et récupèrent pour cela les vidéos enregistrées par des caméras le long de l’avenue Breton.

    • freddyleo

      Ca me rapelle un peu au livre “1984”, écrit par George Orwell. Est-ce que Orwell et/ou Camus étaient des inspirations pour vous? Peut-être pendant votre enfance ou votre jeunesse?

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